Qui avait dit que le coup porté par Kakuzu était la base de l’enchaînement ? Ce n'était clairement pas le cas, la lassitude de l'homme en était la preuve même. Pas le temps de se baser sur un plan qui pourrait être capoté en quelque seconde par un seul mouvement minable. Surtout quand celui-ci avait déjà été envisagé plus tôt. Et alors pourquoi attaquer de la sorte si l'esquive était déjà une chose connu de par l'attaquant. Se plaisait-il seulement à s'user ? Certainement pas, qui ferait cela ? La grenouille venait d'attaquer, Kakuzu faisant le séisme au même instant, de par ce faite il aurait dû être piégé alors que l'épée entré à peine en contact avec le sol. Et pourtant il réussi à sauter juste avant, un coup de bol certainement. Ou bien alors un sur-homme ou plutôt un sur-crapaud. Sa vitesse d’exécution ne pouvant être envisageable normalement, ne connaissant ses capacité qui pouvait même être divination, l’enchaînement allait être parfait. Aucune action ne pouvant ne pas être fait par l'échec des autres.

C'est donc ainsi que tout cela se passa. Dans un monde merveilleux, Gamabunta aurait simplement sauté, et regardé les alentours, aucun signe, jutsu ou autres mouvements envisagé. On pouvait être sûr de cela ... Mais dans le cas de Kakuzu, cela allait-être différent. Il n'était prêt à ne rien laisser passer, aucune espérance. On avait déjà parlé de l'attaque Fuuton, et c'est en se répétant qu'on dirait que celle-ci est d'une rapidité inégalable et non-visuelle. De l'air après tout, que pouvait-il lui résister : Les frottements de l'air ? Quelle absurdité. Tandis qu'en face un crapaud très lourd, encore sous sa dernière attaque, bien que capable d'envisager encore le bond, celui-ci nécessité nécessairement une impulsion. Qui aurait dit le contraire ? ... Il ne manquait plus que mélanger tout ses ingrédients, et tous à présent pouvait se servir : Des pattes de grenouille géante !
Envisager un bond raisonnable dans se cas ? De toute manière sans une patte arrière à présent. Etant garantie que par la faible impulsion qu'émit les anciennes pattes. Pourquoi pas après tout, cette espèce avancés le pouvait certainement après tout. Mais cela ne voulant dire que l'accord était donné par les microbes, comme il le disait, face à lui. Le saut des plus minables à présent, face à des fils rendus invisibles par les différents mouvements ; venant du sol et masqué par la nuée de sable émit ; . Le pauvre, même un saut misérable ne lui était permit. Un Maître, disaient-on, vraiment ? Rien qu'une simple bête inoffensive lorsqu'il est face à plus fort que lui.
Et encore je ne parle pas de ce qui était déjà arrivé à peine tout cela arrivés. Tout en rappelant une nouvelle fois l'indépendance des différentes techniques et donc le faite qu'ils puissent être actives au même moment .... Enfin bref, tel un rayon laser sorti tout droit des meilleurs film de science fiction ou bien d'agent secret, perçant instantanément la bête qui je le rappelle voulait juste bondir. La mort pour elle était la seul option en restant ici ... Qui a dit la défaite la plus rapide de cette dernière ? Bien qu'on peut directement parlé de cela, connaissant déjà le seul but de la bête, qu'allait-il faire ? Il ne pouvait plus bondir et cela se passa sous quelque seconde. Allait-il faire une nouvelle attaque, si rapidement et alors que peut après son mouvement il se fit prendre violemment d'une attaque venant de nul part pour lui. Une nouvelle esquive peut-être, alors qu'en l'air et sans même l'apport de patte ? Utiliser les pattes avant face à n'importe quoi alors que de toute manière les fils et attaque Raiton allait toujours avoir lui. Je pense que tout fut dis pour ce dernier, bien que difficile accepter était la dernière option ... Trahi par ses propres mouvements !


Haaa ?! On en oublié presque Kakuzu, autant que la raison derrière cette rencontre. Les deux n'étaient plus là à présent, Jiraya ayant fait de même il ne pouvait obliger Kakuzu a rester, même si il laissait Gamabunta, qui lui de toute manière allait laisser le temps de partir de façon rapide. La frappe levant une énorme quantité de poussière et le bond très haut en l'air à la base. Ainsi avec les différentes offensive faite Gamabunta était même occupé, tandis que Kakuzu libre sans même que tout le monde le sache. Mais n'était-il pas déjà trop tard ? Après tout l'Homme recherché avait fui, et le temps de recherche allait certainement permettre au Sanin de retrouver Kakuzu. En clair la chance pour chacun de retrouver sa cible était la même, sauf que Jiraya lui pouvait se permettre de trouver n'importe lequel des deux ... Enfin c'est la première pensé que tout un chacun aurait pensé et cela de façon normal. Mais alors que deux hommes venaient de joindre le combat au fur et à mesure, pourquoi n'en aurait-il pas un n-ième. Et de la même façon, bien que ne venant chacun au même moment, tous venant du même endroit, le même que Kakuzu, cela ne voulait-il pas dire que tous était ensemble avant même l'entrée du chasseur de prime. Cette entrée n'était donc en rien précipité en fin de compte. Cela par la vue de la personne inconnu et in-attendu qu'un professionnelle comme Kakuzu était obligé de prendre en compte. La fuite de cette personne, et le faite que Jiraya se met sur la route de l'assassin était certain si Jiraya était assez fort pour vouloir empêcher le travail de Kakuzu.
Tout étant prévu depuis le départ, celui qui maintenait l'autre à l'arrière n'était pas du tout Jiraya, mais belle et bien Kakuzu. Empêchant le noble homme de protéger sa proie. Bien sûr Kakuzu se fit prendre au jeu, attaquant, voulant même Tuer. Mais bien que chacun ayant un prix sur sa tête sa mission principale n'était pas le ninja . Surtout qu'il pouvait être sûr et même certain que leur route allait se recroiser.

C'est donc tendit que les deux ninjas combattaient et que la cible fuyait, qu'après une assez longue distance, il vint se faire barrer la route. Un homme tout habillé en blanc, capuche de même couleur et pourtant un masque d'un animal qu'on qualifierait de faucon ou d'aigle. Muni de très près de l'oeil de couleur bleu. L'homme ciblé n'était pas très fort, il ne fut difficile à attraper. D'un mouvement rapide l'étranglement fut opéré. De cette main en ressortit trois fils rigide qui venait de ressortir du cou de la cible. Il en était déjà fini ... C'est donc après un petit moment, que Kakuzu vint le rejoindre. Il avait perdu du temps, il en était sûr, la cible allait être vite attrapé. Mais ce combat était plaisant jusqu'au dernier moment. Mais cette autre cible en ses dernier moment ne fut pas assez convainquant en tant que sauveur ... Ce sera pour une prochaine fois. La mission était accompli tandis que la Mission personnelle du Sanin était donc un échec. De même que le faite de n'avoir arrêter un homme comme Kakuzu.


Ce qui était sûr à présent, c'est que même si Jiraya venait à présent ou même que son invocation se voyait non touché, le combat était déjà fini. Vous me direz que les autres membres étant présent avec Kakuzu étaient toujours là. Mais de la même façon que Kakuzu cela n'allait plus longtemps être le cas. Tous étant loin d'être vraisemblablement ciblé par la grenouille. Mais de plus alors que tout cela venait de se produire, une chose inattendu arriva. Le terrain entier allait devenir un enfer. Cette enfer dont Kakuzu semblait avoir déjà visiter plus d'une fois, qu'on le croit ou non. Des Jets immense de flamme sortant de partout, sous la grenouille, dans la forêt. Un périmètre immense étant ciblé par cette dernier offensive servant à marquer le coup une bonne fois pour toute. Ne laissant plus d'autre choix à la grenouille, que même si étant en l'air allait devoir atterrir . Et dans ces circonstances, même si réussissant à échapper aux jets par n'importe quel moyen, ne pouvant se mouvoir correctement afin de poursuivre une offensive ... De cette dernière attaque ne servant qu'à libérer le passage, il pouvait en ressortir quelque chose d'autre : Kakuzu n'avait encore rien montré, il était loin de là, bien loin !
Mais au bon vouloir de Jiraya une chose allait rester intact, un Kunai planté en un arbre non brûlé quelque part dans la forêt. Un message s'adressant au Sanin, qui fut écrit quand, je ne serais le dire.